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Constats de carence sur la région

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> Coup de sang de Stéphane Gatignon, maire de Sevran - Paris Met. Lettre ouverte aux élus franciliens de Stephane GATIGNON maire et conseiller général de Sevran (93) Far Niente[1] en francilien, c’est mourir un peu ! Mes chers collègues, Tandis que la crise économique et sociale se déploie et que les tensions s’accroissent, notre tribu, celle des édiles locaux, se condamne au « far niente » du fait de l'absence de projet de société et des luttes de pouvoir entre Paris et la Région, ainsi qu’entre le pouvoir présidentiel et les féodalités locales.

Voilà le très cryptogirondin rapport Balladur enterré sous les applaudissements des Maires franciliens les plus enclins au conservatisme. Voilà le novateur projet de conférence métropolitaine embolisé par la prolifération des syndicats intercommunaux, l'annonce de création d'agences à la sauce anglo-saxonne et pour seules perspectives des études sans vision, ni légitimité politique. Pour régler les problèmes de transport en commun il faut 54 milliards d’euros ! Évidemment, non. Transports franciliens. Saturation des lignes de métro et de RER en Île-de-France - Actu. Article publié le 28 mars 2009 Dernière mise à jour le 24 avril 2009 par Association Sauvegarde Petite Ceinture (ASPCRF) Schéma illustrant le concept de mixité que l’ASPCRF propose pour les endroits où la plate-forme est large. ©Document ASPCRF Quand la méthode la plus simple pour adapter l’offre à l’augmentation de la demande, à savoir l’augmentation du nombre de voyageurs debout au m 2 , n’est plus suffisante, les voyageurs restent à quai pour attendre le prochain train.

Lors de la Troisième conférence sur le métro de l’Union Internationale des Transports Publics (UITP) qui s’est tenue à Lausanne, le 5 décembre 2008, le président de la RATP, M. L’État et la Région Île-de-France proposent chacun leur projet de métro en première couronne, Arce Express pour la Région, Métrophérique pour l’État. Quelles seraient les coûts et les délais de chacun de ces projets ? Les délais prévus sont trop longs pour permettre de faire face à la croissance du trafic d’ici au moins les sept années à venir. Video - Paris : transports parisiens : projet Météor. Les transports en Ile de France : le STIF 3 ans après la décentr.

Ile-de-France : ça craque dans les transports en commun - Econom. Les grèves, comme celle de jeudi dernier, ne sont plus le grand sujet de préoccupation des usagers des transports franciliens. Rails cassés, pannes électriques, suicides sur les voies… alimentent leur hantise quotidienne. La galère des « victimes » s'étale à longueur de blogs. Le constat est partagé : le réseau et le matériel ont vieilli et l'augmentation spectaculaire de la fréquentation (+ 40 % pour le RER D en huit ans) aggrave le problème. « Le tuyau n'est pas assez gros et la pression augmente », résume un connaisseur. Querelles politiques L'affaire est entrée en politique. Les points noirs - Economie - 24/03/2009.

La ligne 13 : « C’est toujours l’heure de pointe » - Transports. Bientôt une rame toutes les 90 secondes - Economie - 24/03/2009. « Il est temps de prendre des décisions » - Economie - 24/03/200. « Même le métro automatique de la ligne 14 est saturé » - Econom. Marc Pelissier, secrétaire général de l'Association des usagers des transports d'Ile de France, reproche aux pouvoirs publics de ne pas avoir anticipé la hausse du trafic survenue il y a quelques années. Des lignes sont-elles aujourd'hui au bord de la saturation ? Marc Pelissier. Depuis deux ou trois ans, la situation est très préoccupante. La ligne 13 du métro a été longtemps la seule à souffrir de problèmes de saturation. Aujourd'hui, le phénomène touche la ligne 1, pénalisée par les travaux d'automatisation, la ligne 9 et même le métro automatique de la ligne 14, bondé le matin dans la direction de Saint-Lazare.

Comment expliquer cet engorgement ? Quels sont les travaux prioritaires ? Économie: Paris s'endort. On trouve peu d’éléments, dans la presse ou sur la toile, permettant de se faire une idée d’une crise qui se résume pour le moment à une impression diffuse. Il est vrai qu’en ces temps de pré-campagne municipale, la moindre observation, la plus douce critique passe pour un engagement politique pour ou contre la majorité locale. Les quelques analyses émanant des chercheurs, de la Chambre de Commerce de Paris mais aussi des réflexions du Medef ou de l’Institut Gabriel Péri (Fondation du Parti communiste) aboutissent pourtant à des conclusions étonnamment convergentes sur l’atonie générale de la région et la dégradation de ses fondamentaux économiques et sociaux. Mais ce diagnostic ne donne pas lieu au débat qu’il mériterait. Il faut remercier François Ascher de mettre les pieds dans le plat, quand il lance que « Paris est aujourd’hui ringard », dans une livraison récente de la revue Pouvoirs Locaux.

Alors pourquoi s’inquiéter ? Mais depuis 2000, la chute commence... Tableau 1. Tableau 2. Competitivité économique de la région parisienne. Le grand pari du président , un article dans Les Echos - Paris M. Jeudi 26 mars 2009 4 26 /03 /Mars /2009 22:17 Nicolas Sarkozy présentera le 29 avril l'un de ses chantiers les plus importants, le projet du Grand Paris. Particulièrement ambitieux, il doit faire de la région capitale l'atout maître de la France dans la compétition économique mondiale des trente prochaines années.

Paris est en effet, avec Londres, New York et Tokyo, l'une des quatre seules « villes monde » recensées par l'OCDE pour leur capacité à concentrer richesses, recherche et innovation. Ces futures locomotives de l'économie mondiale se caractérisent aussi par leur art de vivre et une croissance économique supérieure à celle de leur environnement. C'est compter sans l'élection de Nicolas Sarkozy. A lui d'adapter à l'Ile-de-France les recettes qui marchent à Londres et New York. Dominique Malécot est journaliste au service Régions des « Echos » Paris, ville-monde dans une France endormie - La vie des idées. Le texte de Jean-Louis Missika est une réponse à l’article de Laurent Davezies : Paris s’endort… [01-02-2008] Laurent Davezies vient de publier dans laviedesidées.fr un article intitulé « Paris s’endort… ».

La thèse en est saisissante : Paris et l’Ile-de-France sont en chute libre sur les plans économique et démographique, et ce dans l’indifférence générale. Les statistiques présentées à l’appui de cette thèse sont impressionnantes. Je voudrais critiquer son analyse sous trois aspects. En second lieu, il néglige le rôle des politiques publiques nationales dans l’affaiblissement économique de Paris et de sa région, et notamment de la politique d’aménagement du territoire qui pousse à la délocalisation des emplois de Paris vers la province, politique percutée de plein fouet par la nouvelle donne économique de compétition entre les villes-monde.

Commençons par la croissance et les richesses produites. Et que se passe-t-il entre 2005 et 2007 ? Tableau 3. Tableau 4. Economie francilienne : et si Laurent Davezies cauchemardait ? - L’article de Laurent Davezies, « Paris s’endort... », publié par le mois dernier, continue de susciter les réactions. Après J. -L. Missika , voici la réponse d’Ariane Azéma, Conseillère au cabinet de Jean-Paul Huchon, et Denis Tersen, Directeur général-adjoint « développement » au Conseil régional d’Ile-de-France. Ce qui est en jeu, selon eux, ce sont les fondamentaux de l’économie francilienne. Laurent Davezies répondra dans les semaines à venir à cet article ainsi qu’à celui de J. Nous avons lu « Paris s’endort »…, nous avons été bien réveillés ! Précisons d’emblée que les travaux de Laurent Davezies apportent trois éléments clefs dans la compréhension du système francilien : - le développement de cette métropole mondiale est un enjeu national décisif : son rayonnement international, sa capacité d’innovation, ses effets d’entraînements et bien sûr les mécanismes redistributifs qu’elle alimente sont structurants pour la France, y compris pour le réseau des métropoles régionales ;

L'économie du Grand Paris - La vie des idées - Mozilla Firefox. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, Michael Storper, professeur de géographie économique à l’Institut d’études politiques, revient sur la place de Paris dans la dynamique des métropoles internationales. Au delà de la qualité de vie ou du prestige symbolique de la capitale française, l’avenir de la région francilienne repose selon lui sur la diversité de son économie. Michel Storper est professeur à l’Institut d’études politiques de Paris et chercheur au Centre de sociologie des organisations (CSO). Ses recherches portent sur le développement régional et la mondialisation de l’économie. Il a dernièrement publié Institutions, Incentives and Communication in Economic Geography, Publication of the Hettner Lectures, Heidelberg, Franz Steiner Verlag, 2003.

Entretien avec Michael Storper Vous pouvez également écouter l’entretien : Entretien avec M. Ou télécharger le fichier audio de l’entretien au format mp3 : Note technique : En cas de problème technique, vous pouvez nous contacter. L'Ile-de-France serait l'une des métropoles européennes les plus. 993-1-study_file.pdf (Objet application/pdf)

> Grand Paris et richesses. Système éducatif francilien. Rapport présenté par M. Elie Cohen au nom de la Commission de l'éducation, de l'enseignement etde la recherche (19 juin 2001) Introduction La mise en lumière de la position internationale de l'enseignement francilien comporte des enjeux majeurs à la fois sur le fonctionnement des structures éducatives mais aussi sur le développement économique et social de la Région. Pour l'Ile-de-France, ces enjeux majeurs sont de quatre ordres : - le positionnement international du système éducatif conditionne l'amélioration de la compétence et des qualifications de la population francilienne. Cette observation concerne singulièrement les jeunes qui trouvent ainsi des conditions déterminantes pour leur insertion sociale et professionnelle ; - le rayonnement international du système éducatif constitue, dans chaque territoire, un atout pour les entreprises exposées à une concurrence internationale accrue et confrontées à des impératifs nouveaux de compétitivité ; Conclusion Recommandations du CESR.

Saclay - pôle universitaire.