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La liberté d'expression

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Liberté d'expression. La liberté d'expression est le droit reconnu à l'individu de faire connaître le produit de sa propre activité intellectuelle à son entourage[1].

Liberté d'expression

Elle procède de la faculté de communiquer entre humains. Celle-ci a longtemps été considérée comme un simple phénomène naturel conditionnant la vie sociale, avant d'être solennellement érigée en liberté individuelle, aujourd'hui juridiquement garantie mais en réalité assez étroitement encadrée. Phénomène social et liberté individuelle[modifier | modifier le code] J'écris ton nom. Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom.

J'écris ton nom

Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789. Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.

Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789

Un droit qui prétend à l'universalité ?

La FAQ de la liberté d'expression. Depuis une semaine, des lecteurs nous posent des questions sur la liberté d'expression, ou s'étonnent de la manière dont est appliquée la loi.

La FAQ de la liberté d'expression

Depuis une semaine, de nombreuses remarques et questions de nos lecteurs et des internautes nous interpellent sur la liberté d'expression et ses limites, ou s'étonnent de la manière dont est appliquée la loi. Nous avons tenté de faire un tour d'horizon des messages les plus fréquents. « J'ai le droit de dire ce que je pense » Vous avez le droit, oui, mais en privé, et encore. Liberté d'expression en France. Garanties nécessaires à la liberté d’expression Les textes garantissant la liberté d’expression La liberté d’expression est garantie par de nombreux textes.

Liberté d'expression en France

La première proclamation de la liberté d’expression date de 1776, date à laquelle les Etats-Unis adoptent leur Constitution. En France, la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC) de 1789 reprendra ce droit fondamental, qui relève de valeurs aussi bien laïques que démocratiques. Libérés de l’emprise monarchique, les français veulent s'émanciper de l’oppression qu’ils ont connue ; ils veulent pouvoir parler, s’exprimer, et faire connaitre leurs opinions sans restriction. La DDHC étant insérée dans le préambule de la Constitution de 1958, elle dispose depuis une décision du Conseil Constitutionnel d’une valeur constitutionnelle. Parallèlement à la liberté d’expression dans sa stricte définition, d’autres libertés viennent s’ajouter afin de faciliter sa mise en application. De « Charlie » à Dieudonné, jusqu'où va la liberté d'expression ?

« Pourquoi Dieudonné est-il attaqué alors que Charlie Hebdo peut faire des “unes” sur la religion » ? La question est revenue, lancinante, durant les dernières heures de notre suivi en direct de la tuerie à Charlie Hebdo et de ses conséquences. Elle correspond à une interrogation d'une partie de nos lecteurs : que recouvre la formule « liberté d'expression », et où s'arrête-t-elle ? La liberté d'expression est encadréeLa particularité des réseaux sociauxLe cas complexe de l'humourCharlie, habitué des procèsDieudonné, humour ou militantisme ?

1. Presse et démocratie. Liberté de la presse. Limites de la liberté d'expression. Seront punis de cinq ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende ceux qui, par l'un des moyens énoncés à l'article précédent, auront directement provoqué, dans le cas où cette provocation n'aurait pas été suivie d'effet, à commettre l'une des infractions suivantes : 1° Les atteintes volontaires à la vie, les atteintes volontaires à l'intégrité de la personne et les agressions sexuelles, définies par le livre II du code pénal ; 2° Les vols, les extorsions et les destructions, dégradations et détériorations volontaires dangereuses pour les personnes, définis par le livre III du code pénal.

Limites de la liberté d'expression

Ceux qui, par les mêmes moyens, auront directement provoqué à l'un des crimes et délits portant atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation prévus par le titre Ier du livre IV du code pénal, seront punis des mêmes peines. Loi pour la confiance dans l'économie numérique (2004) I, II, III : Paragraphes modificateurs.

Loi pour la confiance dans l'économie numérique (2004)

Libertés d'expressions dans le Code pénal. Liberté d'expression en France : 400 textes de censure. Un garçon de 8 ans entendu par la police pour ses propos sur le terrorisme. La police de Nice a confirmé, mercredi 28 janvier, avoir auditionné un enfant de 8 ans pour des propos sur le terrorisme qu'il aurait tenus dans son école primaire.

Un garçon de 8 ans entendu par la police pour ses propos sur le terrorisme

Selon le directeur départemental de la sécurité publique, Marcel Authier, l'enfant avait été signalé aux autorités par le directeur de l'établissement où il est scolarisé en raison de son comportement après les attentats perpétrés en région parisienne. Le garçon aurait refusé d'observer la minute de silence en hommage aux victimes et tenu des propos de « solidarité » avec les terroristes, selon son instituteur. « Dans le contexte actuel, le directeur de l'école a décidé de signaler ce qui s'est passé à la police », précise le commissaire Authier, en notant qu'il ne s'agit aucunement d'une plainte. « On a convoqué l'enfant et son père pour essayer de comprendre comment un garçon de 8 ans peut être amené à tenir des propos aussi radicaux », explique M. Authier. . « Visiblement, l'enfant ne comprend pas ce qu'il a dit.

Après les attentats à Paris, une fillette entendue par la gendarmerie. « Je suis très inquiet pour la situation de la liberté d’expression en France » par Kim Jong-un. Désormais et à sa demande, le Chef suprême de la République populaire démocratique de Corée signera un éditorial sur la situation dans le monde.

« Je suis très inquiet pour la situation de la liberté d’expression en France » par Kim Jong-un

J’apprends que des choses terribles se déroulent dans votre pays, la France. J’apprends que l’on met des enfants en prison, qu’on les interroge, qu’on les maltraite, et ce, rien que pour des mots. La France active le blocage des sites sans juge. Une première. Le ministère de l’Intérieur a publié ce matin au Journal officiel le décret sur le blocage administratif des sites faisant l’apologie ou provocant au terrorisme et ceux diffusant des contenus pédopornographiques.

La France active le blocage des sites sans juge. Une première.

Une bonne occasion de faire le point sur ce sujet sensible. Qui décidera des sites à bloquer ? C’est l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLCTIC) qui sera compétente pour dresser la liste des sites à bloquer. Comme l'a précisé l’office en question lors d’une audition au Sénat, les noms des sites « terroristes » seront soumis à l’UCLAT (l'unité de coordination de la lutte antiterroriste) aux fins de validation et surtout pour ne pas télescoper des enquêtes en cours.

Un site bloqué, c'est une attention portée aux yeux de son éditeur qui va nécessairement voir sur ses cadrans que le nombre de visiteurs venant de France a considérablement chuté. La censure d'internet en France commence aujourd'hui. Ce n'est pas une surprise. Mais le choc n'est pas moins fort : les autorités peuvent désormais bloquer des sites web sans demander l'avis du juge. La pratique avait été votée dans le cadre de la loi de "lutte contre le terrorisme", en septembre dernier, mais le décret prévoyant de bloquer les sites internet faisant "l'apologie du terrorisme" n'a été publié que ce vendredi 6 février au matin. Blocage qui concernera aussi les sites pédopornographiques. Le gouvernement érige ainsi l'Office central de lutte contre la cybercriminalité (OCLCTIC) en nouvel ORTF.

Après avoir demandé à un site web de retirer des contenus litigieux, l'OCLCTIC pourra adresser, directement aux fournisseurs d'accès à internet, une liste de sites à bloquer. Bonne ambiance sur Twitter. "Moi, censuré par la France pour mes opinions politiques" "Quelle réponse donner au blocage administratif décidé par le gouvernement français ? Dois-je me lancer dans une diatribe stérile contre cet Etat qui se veut le défenseur de la liberté d’expression lorsqu’il s’agit d’insulter le christianisme et l’islam mais place les verrous lorsqu’il s’agit de s’opposer à sa politique extérieure ?

Le choix a été vite fait : je laisse tomber un combat perdu d’avance tout en contestant fermement les accusations. Mais je n’abandonne pas pour autant mon esprit critique. Pour que mon message soit le plus clair possible, je vais l’articuler en plusieurs points. D’abord lever le voile sur islamic-news.info, ensuite expliquer en quoi la censure est politique. Le projet Islamic-News Le site islamic-news.info a été fondé en mai 2013. Et non monsieur Cazeneuve, aucun groupe n’animait le site islamic-news.info.