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Réalisateurs

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Jan Svankmajer - Dimensions of dialogue. Tony Gatlif. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Tony Gatlif Tony Gatlif en 2008 Biographie[modifier | modifier le code] Tony Gatlif est né d'un père kabyle[3] et d'une mère gitane[4]. Après une enfance à Alger, Gatlif arrive en France en 1960 durant la Guerre d'Algérie. À partir de 1981, il aborde le thème qu'il approfondira de film en film : les Roms du monde entier, dont il devient à bien des égards le chantre, séduit par une « communauté en mouvement » et par un « univers sonore et musical » d'une très grande richesse et d'une grande diversité. Filmographie[modifier | modifier le code] Réalisateur[modifier | modifier le code] Cinéma[modifier | modifier le code] Tony Gatlif est scénariste des films qu'il a réalisé. Clips vidéo[modifier | modifier le code] Acteur[modifier | modifier le code] Producteur[modifier | modifier le code] Compositeur[modifier | modifier le code] Récompenses[modifier | modifier le code] Théâtre[modifier | modifier le code] Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

Josef von Sternberg. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Au cours d'une carrière hollywoodienne tumultueuse, il fut notamment le pygmalion de Marlène Dietrich. Il a écrit ses mémoires dans Souvenirs d'un montreur d'ombres (Fun in a Chinese Laundry) en 1966. Issu d'une famille de la classe moyenne juive de Vienne, il a fait, contrairement à Erich von Stroheim, de solides études en Autriche et aux États-Unis, avant de travailler comme monteur pour une compagnie du New Jersey. Sa carrière prend un nouveau tour avec L'Ange bleu, tourné pour l'UFA en Allemagne. Filmographie[modifier | modifier le code] Films muets Films parlants Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Jean Tulard. Liens externes[modifier | modifier le code] Edgar George Ulmer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pour les articles homonymes, voir Ulmer. Edgar Georg Ulmer est un réalisateur, scénariste, producteur et directeur de la photographie américain d'origine autrichienne né le à Olomouc (République tchèque), décédé le à Woodland Hills (États-Unis). Biographie[modifier | modifier le code] Plaque commémorative à Olomouc Ulmer meurt en 1972 à Woodland Hills après une attaque qui provoqua une paralysie vasculaire. En 2005, le chercheur Bernd Herzogenrath découvrit l'adresse de sa naissance à Olomouc. Une plaque commémorative fut inaugurée le 17 septembre 2006, à l'occasion de l’Ulmerfest 2006 — le premier colloque dédié à l'œuvre d'Ulmer. Filmographie[modifier | modifier le code] comme réalisateur[modifier | modifier le code] comme scénariste[modifier | modifier le code] comme producteur[modifier | modifier le code] Comme directeur de la photographie[modifier | modifier le code] 1962 : The World's Greatest Sinner Lien externe[modifier | modifier le code]

Nicholas Ray. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Nicholas Ray Biographie[modifier | modifier le code] Il est le plus jeune de quatre enfants. Son père, qui a déjà eu deux filles d'un mariage précédent, est alcoolique. Allemand catholique, il devient luthérien. Sa mère travaille dans le domaine artistique. Nicholas Ray étudie d'abord à l'Université de Chicago qu'il quitte en 1932. Avec à peine 100 dollars en poche, il rejoint un groupe de Théâtre d'Improvisation de New-York. Après cette réussite, Nicholas Ray rencontre la compagnie Warner Bros., qui lui demande de réaliser La Fureur de vivre. Le sujet de la délinquance juvénile est omniprésent dans les médias américains depuis longtemps à l'époque et c'est ce qui incite Ray à s'engager dans le projet. Pour peaufiner le scénario de Rebel, il fait appel à un dynamique auteur de 32 ans, Stewart Stern.

Devenu alcoolique et joueur compulsif, sa fortune fond à vue d'œil. Il meurt d'un cancer des poumons le 16 juin 1979. Peter Greenaway. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Peter Greenaway Peter Greenaway en 2007. Biographie[modifier | modifier le code] Sa ligne de conduite créatrice principale est l'encyclopédisme singulier.

Bien que son œuvre soit très empreinte de noirceur, l'humour britannique, pince-sans-rire et l'humour noir, y sont très présents. Son travail n'est pas sans rapport avec la pataphysique et l'Oulipo ; lui-même n'y fait pas référence explicitement, mais il a déjà reconnu l'influence sur lui d'Italo Calvino, membre de l'Oulipo. Jusqu'en 1991, il confia principalement les musiques de ses films à Michael Nyman. Filmographie[modifier | modifier le code] Longs métrages Courts et moyens métrages Liens externes[modifier | modifier le code] Dziga Vertov. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Si Vertov s'inscrit pleinement dans le mouvement de l'avant-garde cinématographique de la Russie des années 1920, notamment par la grande influence qu'exercent sur lui le futurisme et le constructivisme, et par les multiples expérimentations dont il est l'auteur, il n'en reste pas moins qu'il apparaît relativement isolé, surtout à cause de son attachement, jugé excessif, au documentaire.

Il s'oppose en large part à des cinéastes comme Sergueï Eisenstein, Grigori Kozintsev et Leonid Trauberg, qu'il accuse de faire du cinéma-spectacle, en raison de leur emploi de la fiction. Son cinéma est taxé de formalisme par le régime stalinien à la fin des années 1920, et Vertov doit en conséquence progressivement s'éclipser, tout comme de nombreux cinéastes d'avant-garde déviant de la nouvelle doctrine officielle, le réalisme socialiste. Biographie[modifier | modifier le code] Une jeunesse marquée par les avant-gardes[modifier | modifier le code]

John Woo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. John Woo John Woo en 2005 John Woo (吴宇森 en chinois, Wú Yǔsēn en hànyǔ pīnyīn) est un réalisateur chinois, né le à Guangzhou (Canton), Chine. Biographie[modifier | modifier le code] En sus de sa carrière de réalisateur et de producteur, il faut également signaler que John Woo a également exprimé ses aptitudes d'acteur en apparaissant dans plusieurs de ses films, tenant par exemple le rôle principal de Rebel From China, mis en scène par Raymond Lee, film sorti en 1990 en Asie.

Filmographie[modifier | modifier le code] Longs métrages[modifier | modifier le code] Courts métrages[modifier | modifier le code] 1968 : The evil one. Téléfilms[modifier | modifier le code] Publicité[modifier | modifier le code] Autres Travaux[modifier | modifier le code] 2007 : Stranglehold (jeu vidéo) Récompenses[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Karel Zeman. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Zeman. Karel Zeman est un dessinateur et réalisateur de film d'animation tchèque, né le à Ostromer (en) en Autriche-Hongrie (aujourd'hui République tchèque) et mort le à Gottwaldov (Tchécoslovaquie).

Biographie[modifier | modifier le code] En 1955, Zeman réalise son premier film combinant performances d'acteurs « réelles », animation, et effets spéciaux — Cesta do pravěku (Voyage dans la préhistoire), une œuvre qui créa une petite révolution dans le milieu de l'animation. Bien que la plupart des films de Zeman soient souvent désignés comment étant destinés à un public enfantin, ils possèdent un style visuel et un esprit particulier, sophistiqué, qui enchante aussi bien les adultes. En l'honneur de Karel Zeman a été fondé Musée de Karel Zeman, à Prague en 2012. Filmographie sélective[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

Carl Theodor Dreyer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dreyer. Carl Theodor Dreyer Carl Theodor Dreyer (1965) Carl Theodor Dreyer (né à Copenhague, le - mort dans la même ville, le ) est un réalisateur danois. Sa carrière fut aussi longue que ses œuvres furent rares : quatorze films en cinquante ans - rareté qui s'explique autant par la frilosité des producteurs que par le soin méticuleux qu'il apportait à la préparation de chacun de ses films, mûris de longues années avant leur tournage. Il demeure, pour la postérité, le cinéaste des visages féminins et des tourments de l'amour chrétien dans une société désenchantée, comme en témoignent, aux deux extrémités de son œuvre, La Passion de Jeanne d'Arc (1928), achèvement des recherches du cinéma muet, et Gertrud (1964), source d'inspiration pour tout le cinéma moderne.

Biographie[modifier | modifier le code] La période muette[modifier | modifier le code] De Vampyr à Jour de colère[modifier | modifier le code] Shōhei Imamura. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Shōhei Imamura (今村 昌平, Imamura Shōhei?) Est un cinéaste japonais né le 15 septembre 1926 à Tōkyō au Japon et mort le . Biographie[modifier | modifier le code] Imamura est issu d'un milieu bourgeois. Son père, médecin, échappa à la mobilisation durant la guerre, mais les deux frères du jeune Shōhei furent envoyés au front, et l'aîné y perdit la vie. Lui-même passa sa jeunesse au milieu des petits malfrats et des prostituées du quartier de Shinjuku, qui devint le haut lieu du marché noir à Tōkyō durant l'occupation américaine. Il entreprit des études d'abord au Technical College de Tōkyō, puis à l'Université de Hokkaidō, section agriculture, qu'il quitta pour l'université Waseda, où il étudia l'histoire pendant six ans et obtint un diplôme en 1951.

Passionné par la mise en scène et le jeu d'acteurs, il s'occupa du club de théâtre de l'université. Il réalise ses premiers films en 1958. Filmographie[modifier | modifier le code] Zhang Yimou. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Zhang Yimou Zhang Yimou (chinois simplifié : 张艺谋 ; chinois traditionnel : 張藝謀 ; pinyin : Zhāng Yìmóu) est un réalisateur chinois né le à Xi'an, en Chine. Biographie[modifier | modifier le code] Zhang Yimou est issu d'une famille proche du Kuomintang. À la réouverture de l'Université de cinéma de Pékin en 1978, il tente, à 27 ans, de s'inscrire dans la filière « réalisation » mais il dépasse l'âge limite d'admission. L'actrice Gong Li, qui fut son épouse jusqu'en 1995, joue dans ses sept premiers longs métrages et tourne à nouveau sous sa direction dans la shakesperienne Cité interdite en 2006. Ses films se caractérisent également par une esthétique exotique, propre à émerveiller les spectateurs par la magnificence des décors et des costumes.

Lors de la Mostra de Venise 2007 il est le président du jury des longs-métrages. Il est choisi pour concevoir le spectacle de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'été de 2008 à Pékin. Dreyer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dreyer est un nom de famille notamment porté par : Benedikt Dreyer (1495-1555), sculpteur et peintre allemand ;Carl Theodor Dreyer (1889-1968), réalisateur danois ;Dekker Dreyer (1889-1968), réalisateur et producteur américain ;Frederic Charles Dreyer (1878-1956), officier de la Royal Navy ;Jim Dreyer, nageur sur longue distance ;John Louis Emil Dreyer (1852-1926), astronome irlando-danois ;Matthieu Dreyer (1989-), footballeur français ;Olaf Dreyer, physicien théoricien allemand ;Pam Dreyer (1981-), joueur de hockey sur glace américain ;Peter Dreyer (1939-), écrivain et politicien sud-africain ;Pierre Dreyer (1924-2005), personnalité politique suisse ;Victor Dreyer (1866-1944), prélat catholique français.

Tsui Hark. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Tsui Hark Tsui Hark au Festival international du film de Dubaï en 2008 Tsui Hark (徐克 en chinois, Xú Kè en hànyǔ pīnyīn, Cheui4 Hak1 en cantonais) né Tsui Man-kong, est un réalisateur hong-kongais né au Viêt Nam le (alors en Cochinchine française), à qui l'on doit notamment la série des Il était une fois en Chine avec Jet Li. Il est également producteur, acteur et scénariste. Biographie[modifier | modifier le code] Né au Viêt Nam, il étudie à Hong Kong, puis part aux États-Unis, au Texas dans les années 1970 pour étudier le cinéma.

En 1983, Zu, les guerriers de la montagne magique est le film qui marque le tournant de sa carrière. Il crée sa propre société d'effets spéciaux, Cinefex. Par la suite, il poursuit ses films liés à la culture chinoise en retournant une nouvelle version de Zu en 2001, La Légende de Zu, un film contenant une débauche d'effets spéciaux. Filmographie[modifier | modifier le code] Réalisateur[modifier | modifier le code] Jonas Mekas. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jonas Mekas Jonas Mekas à la Fondation Ragghianti à Lucques en 2008 Jonas Mekas, né le dans le village de Semeniškiai, près de Biržai, Lituanie, est un écrivain et réalisateur.

Figure du cinéma underground, il est aussi critique et enseignant de cinéma. Il a popularisé le journal filmé. Biographie[modifier | modifier le code] De 1944 à 1945, Jonas Mekas est interné dans un camp de travail en Allemagne nazie. Il cofonde en 1970, avec Stan Brakhage, P. Bibliographie[modifier | modifier le code] en lituanien[modifier | modifier le code] en anglais[modifier | modifier le code] Movie Journal, Macmillan, 1972Zefiro Torna or Scenes From the Life of George Maciunas (diaries), Arthouse, New York, 1998I had Nowhere to Go : Diaries, 1944-1954, Black Thistle Press, New York, 1991There is No Ithaca (édition anglaise, trad.

En français[modifier | modifier le code] Filmographie[modifier | modifier le code] Expositions[modifier | modifier le code] Mikio Naruse. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mikio Naruse Mikio Naruse (成瀬 巳喜男, Naruse Mikio? , – ) est un réalisateur, écrivain et producteur japonais. Il est l'auteur de 89 films datant de la fin du cinéma muet jusqu'aux années 1960. Biographie[modifier | modifier le code] Mikio Naruse est né à Tōkyō le , le dernier enfant d'une famille modeste. En 1934, Naruse quitte, donc, la Shochiku pour les studios de la P.C.L. Dans les années 1960, son thème de prédilection reste le portrait de femmes dans Quand une femme monte l'escalier (1960), l'histoire d'une hôtesse de bar, ou dans Nuages épars en 1967, son dernier film. Style[modifier | modifier le code] Son cinéma est marqué par une économie d'effet, et néanmoins une grande efficacité dramatique.

Postérité[modifier | modifier le code] Longtemps oublié par la critique occidentale, de larges rétrospectives depuis les années 1980 (notamment aux festivals de Locarno, de Hong-Kong et de San Sebastian) ont permis de redécouvrir son œuvre. Filmographie Richard Quine : Réalisateur – Tout Le Ciné. TOUTLECINE.COM, tout sur le cinéma et les séries télé.