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La police disperse des manifestations dans tout le Maroc - Monde. La police marocaine a dispersé dimanche 22 mai plusieurs centaines de jeunes du Mouvement du 20 février qui demandent d'importantes réformes politiques au Maroc, moins d'un mois avant la remise au roi Mohammed VI de propositions pour une prochaine réforme constitutionnelle. A Casablanca et Rabat, mais aussi dans d'autres villes comme Tanger (nord) et Agadir (sud), plusieurs jeunes manifestants parmi lesquels des islamistes ont été dispersés par la police qui a fait usage de matraques. Selon des témoins, il n'y a pas eu de blessés. "Nous étions plus d'un millier de jeunes au quartier populaire de Sbata (ndlr, à Casablanca). Subitement, les forces de l'ordre ont surgi et nous ont dispersés par la force", a déclaré Ahmed Mediany, l'un des membres de la section de Casablanca du Mouvement.

"Une course poursuite a ensuite commencé dans les rues du quartier entre la police et plusieurs jeunes manifestants", a-t-il ajouté. "La police nous a poursuivi" "Nous nous sommes dispersés en trois groupes. Ben Laden, Marrakech, printemps arabe. Au Maroc, le “tsunami” du 20 février réplique - #Printemps arabe - Blog LeMonde.fr. Rien de tel qu'un petit tour en taxi dans les rues de Rabat pour prendre le pouls d'une société marocaine traversée par de profonds changements. Le blogueur Agharass relate ainsi, amusé, dans un billet son échange avec "le chauffeur des discussions", "représentation miniature des débats de la société marocaine". "Les discussions sont ouvertes sur tous les sujets (...) plus de langue de bois.

Les phrases, les adjectifs et les noms sont placés avec panache dans la construction d’un nouveau Maroc, le Marocain lambda a compris qu’il est temps de réagir et d’être à la hauteur de l’événement. Ça parle de jeunes, ça parle de la jeunesse marocaine avec un grand M. Et puis tu entends 'je critique mon Maroc avec hargne. C’est que c’est le mien et je veux que ça change vers quelque chose qui garantie la dignité pour tous les Marocains", raconte Agharass. Au Maroc, les langues se sont déliées. Le Tsunami du 20 février Omar M. Où s'arrêtera le mouvement ? Au Maroc, le "printemps arabe" n'est pas nouveau. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Taïb Fassi Fihri, ministre des affaires étrangères et de la coopération du royaume du Maroc Que dire et penser des événements qui secouent plusieurs pays arabes ?

Quelles premières conclusions tirer, globalement, des différentes évolutions enregistrées ? Prenons d'abord bonne note de quelques évidences. Il n'existe pas, et il faut s'en réjouir, d'exception arabe aux aspirations universelles des peuples à la liberté et à la démocratie. Il ne saurait y avoir de développement économique et social sans évolution politique et démocratique parallèle.

Toute société qui aspire au progrès doit marcher sur ses deux jambes. Dans le monde arabe, aussi, n'en déplaise à ceux qui, au nord comme au sud de la Méditerranée, ont voulu sacrifier l'exigence démocratique sur l'autel de la sécurité et de la stabilité. Ensuite, évitons les amalgames. Pour autant, les changements souhaités ne seront pas opérés de manière identique. Le Maroc ne craint pas le changement. Maroc | Les partis marocains plaident pour une monarchie parlementaire.

La Une du magazine Maroc Hebdo, le 25 mars 2011 à Rabat.© AFP Plusieurs partis politiques au Maroc ont proposé de réformer la Constitution en faveur d’une monarchie parlementaire. Ils souhaitent néanmoins conserver la dimension religieuse du statut de Mohammed VI, "Commandeur des croyants" du royaume. La commission pour la réforme de la Constitution du Maroc a reçu des propositions formulées par plusieurs partis politiques du royaume. Créée par le roi Mohammed VI dans la foulée de l’annonce, le 9 mars dernier, d’une série de réformes d’ampleur, et présidée par le juriste Abdeltif Menouni, elle devra rendre ses conclusions le 16 juin prochain.

Trois partis gouvernementaux, l'Union socialiste des forces populaires, (USFP), l'Istiqlal (parti du Premier ministre Abbas El Fassi) et le Parti du progrès et du socialisme (PPS, coalition gouvernementale), ont présenté successivement lundi 28 mars leurs suggestions aux membres de la commission. Renforcer les pouvoirs du Premier ministre. Maroc | "La politisation de la jeunesse marocaine est positive", selon le professeur Menouni. Abdeltif Menouni préside la Commission consultative de la révision de la Constitution du Maroc.© Hassan Ouazzani pour J.A. En exclusivité pour jeuneafrique.com, le professeur Abdeltif Menouni, chargé par le roi du Maroc Mohammed VI de piloter la réforme de la Constitution annoncée par le discours royal du 9 mars, explique les enjeux de sa mission. Le fruit des travaux de la Commission consultative de révision de la Constitution sera remis au souverain d'ici à la fin juin, et le nouvelle loi fondamentale sera soumise à référendum.

Jeuneafrique.com : Quels sont les enjeux fondamentaux de la réforme constitutionnelle ? Abdeltif Menouni : Le premier enjeu, c’est l'approfondissement de la démocratisation des institutions. Quels sont les axes qui ont été explicitement déterminés par le roi ? Il s’agit d’abord de l’identité nationale. Est-ce que le processus de réforme a déjà commencé ? Oui, c’est un processus qui est déjà entamé et qui s’approfondit. C’est une question de principe. Maroc : un "Mouvement du 9 mars" favorable au roi s'oppose au "Mouvement du 20 février" LE MONDE pour Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Isabelle Mandraud - Envoyée spéciale à Rabat Les royalistes marcheront-ils ? La manifestation des partisans du roi Mohammed VI, de nouveau annoncée dimanche 27 mars à Casablanca, comme le rapporte dans son édition du 25 mars le journal Al Alam, proche du parti au pouvoir, l’Istiqlal, a toujours été jusqu’ici reportée. Mais les royalistes se sont déjà donné rendez-vous sur le net.

Un groupe baptisé "Mouvement du 9 mars", vient de se constituer pour s’opposer au "Mouvement du 20 février". A travers ces deux dates symboliques se joue en réalité le printemps marocain. Le premier, le "Mouvement du 20 février" est né sur Facebook à l’initiative de jeunes, déterminés à obtenir plus de libertés. Le 20 février, les premières manifestations ont ainsi réuni plusieurs milliers de Marocains pour réclamer une monarchie parlementaire, la démission du gouvernement et du parlement, et dénoncer la corruption.

Des centaines de journalistes manifestent au Maroc. أصداء المغرب - موقع %100 مغربي. Arab spring: an interactive timeline of Middle East protests | World news. Photo : yfrog.com/h7qwawdj - Shared by feryate. Des milliers de Marocains dans la rue. Maroc : des dizaines de milliers de manifestants - Fil news. Miles de personas piden más democracia en Marruecos en un ambiente festivo | Revueltas en el mundo árabe. Un mes después de sus primeros gritos por la democracia, los jóvenes manifestantes marroquíes han vuelto a demostrar en la calle que siguen en pie de guerra y dispuestos a dar la batalla para conseguir más cuotas de libertad en su país. Su primera gran manifestación fue el pasado 20 de febrero, fecha que da nombre a su movimiento, y este domingo han vuelto a convocar a decenas de miles de personas en el reino alauí.

En la capital, Rabat, a las 9.30 de la mañana empezaba a llenarse la Plaza de Bab El Had, punto de encuentro de los jóvenes y sus seguidores (les apoyan más de 100 organizaciones políticas, sindicales, de derechos humanos o islamistas). En un ambiente festivo y pacífico, han avanzado hasta el Parlamento marroquí, en la Avenida Mohamed V, arteria principal de la ciudad. Manifestantes en Casablanca. | Efe Al mediodía, la protesta en la capital contaba ya con más de 10.000 manifestantes, según los organizadores; una cifra que responsables policiales han rebajado hasta los 1.500. Miles de marroquíes salen a la calle a pesar de las reformas anunciadas por Mohamed VI · ELPAÍS.com. Miles de marroquíes han vuelto a las calles de varias ciudades hoy para reclamar una nueva constitución, más justicia social y menos corrupción, a pesar del reciente anuncio del rey Mohamed VI de profundas reformas políticas.

Más de medio centenar de ciudades de Marruecos están viviendo una jornada de protesta, convocada por los jóvenes del Movimiento 20 de Febrero. Casablanca es la que ha registrado una mayor afluencia de manifestantes -50.000 según los organizadores y 5.000, según la policía-, mientras que en Rabat, unas 5.000 personas han recorrido la principal arteria de la ciudad, la avenida Mohamed V. El wali (gobernador) de Rabat, Hassan Amrani, ha comentado a este corresponsal la baja participación en la capital: "El discurso del rey del 9 de marzo ha surtido efecto. La gente ve buena voluntad y se moviliza menos". El 9 de marzo el rey anunció en un discurso no previsto una reforma constitucional que implica un recorte de sus poderes. Maroc : manifestations pour la démocratie et la justice sociale - Les révolutions arabes. Plusieurs milliers de Marocains ont manifesté dimanche 20 mars, à Rabat et Casablanca notamment, pour réclamer davantage de démocratie et de justice sociale, malgré la récente annonce par le roi Mohammed VI de profondes réformes politiques.

A Rabat, des manifestants ont scandé "Le peuple marocain demande le changement",en réclamant la "démission du gouvernement", tandis que des pancartes proclamaient: "liberté et dignité pour le peuple marocain". Quelque 4.000 personnes dont de nombreux islamistes, s'étaient rassemblées avant d'entamer une marche. A Casablanca, plusieurs milliers de personnes -plus de 10.000 selon des organisateurs- défilaient également, scandant "non à la corruption et au clientélisme", selon un journaliste de l'AFP. Certains slogans réclamaient "un roi qui règne et ne gouverne pas". Les manifestants ont réclamé une "Constitution émanant de la volonté populaire" et qui ne soit pas "octroyée" d'en haut.

Malgré la réforme "Maintenir la pression" Nouvelobs.com avec AFP. Des milliers de Marocains manifestent pour plus de justice sociale. Moroccan Islamists demonstrating 20th of march. Début des manifs à Rabat et Casablanca. Map DataMap data ©2014 Google, basado en BCN IGN España Map Data Map data ©2014 Google, basado en BCN IGN España «Le peuple marocain demande le changement», scandaient des manifestants à Rabat dimanche matin en réclamant la «démission du gouvernement», tandis que des pancartes proclamaient: «pour la liberté et la dignité du peuple marocain». Aucun dispositif policier important n'était visible à Rabat où plus de mille personnes dont de nombreux islamistes, s'étaient rassemblées dans la matinée.

Un roi qui règne et ne gouverne pas Plusieurs centaines de personnes manifestaient également à Casablanca, scandant «non à la corruption et au clientélisme», selon un journaliste de l'AFP. Certains slogans réclamaient «un roi qui règne et ne gouverne pas». Des marches et rassemblements étaient prévus dans d'autres villes marocaines. Une série de mesures (afp) العدل و الإحسان ستترشح للإنتخابات - أصداء المغرب. Maroc : "le discours royal n'a pas répondu à nos attentes" Des milliers de Marocains ont manifesté dimanche, dans plusieurs villes, pour réclamer davantage de démocratie et moins de corruption, quelques jours après l’annonce par le roi Mohammed VI de profondes réformes politiques. « Le peuple marocain demande le changement », scandaient des manifestants en réclamant la « démission du gouvernement », tandis que des pancartes proclamaient : « liberté et dignité pour le peuple marocain ». (De Rabat) A la veille de ce nouvel appel à manifester, le premier depuis le discours du roi Mohamed VI lançant un chantier de réforme constitutionnelle, Abdallah Aballagh, un étudiant en droit de 23 ans, est un des membres fondateurs du Mouvement 20 février, à l’origine des protestations, répond aux questions de Rue89.

Comment vous sentez-vous à la veille de la marche du 20 mars ? Je suis serein et confiant, même s’il est difficile de savoir ce qu’il va se passer. Le scénario est inconnu. Moi, je n’ai pas peur. Quelle a été votre réaction au discours du 9 mars ? 20/03. Paris : Maroc - Rassemblement de soutien aux mobilisation du 20 mars. Appel à manifester et à se rassembler Depuis que le vent de liberté a soufflé sur le Maghreb et le monde arabe, les jeunes marocains sont sortis le 20 février dans la plupart des villes et villages marocains pour réclamer la liberté et la démocratie. Depuis ce 20 février, un nouveau cycle de luttes s’est ouvert par des manifestations décentralisées partout, au Maroc et ailleurs, pour exiger une rupture véritable et totale avec toutes les institutions non démocratique mises en place par le régime.

La mobilisation n'a pas cessé malgré la répression, la désinformation, l’intimidation et la diffamation à l’égard des jeunes par les médias officiels et les différents appareils du pouvoir. Le 09 Mars a été prononcé le discours du monarque annonçant une révision, partielle et selon un agenda défini par le discours, de la constitution et désignant une commission, une fois de plus, pour cela. Parvis des droits de l'homme/Ambassade du Maroc Dimanche 20 Mars à 15 h Paris 16éme, Métro Trocadéro. Maroc: manifestations le 20 mars, un test après le discours du roi, actualité Monde : Le Point. Le Maroc doit connaître dimanche une nouvelle journée de manifestations pour réclamer des changements démocratiques, un test important pour le pouvoir quelques jours après le discours du roi Mohammed VI annonçant de profondes réformes politiques. Des marches et rassemblements sont prévus dans plusieurs villes à l'appel du mouvement du 20 février qui, il y a un mois, avait fait descendre plusieurs dizaines de milliers de personnes dans les rues du Maroc pour demander des réformes urgentes et une limitation des pouvoirs royaux.

Le mouvement, lancé à l'origine par de jeunes Marocains sur Facebook, a maintenu son mot d'ordre pour dimanche, malgré un discours royal reprochant aux autorités la répression d'une manifestation qui a fait des blessés dimanche dernier à Casablanca. Le mouvement juge en outre que si les annonces du monarque constituent un "premier acquis", elles comportent aussi "des formules ambiguës" qui peuvent faire "douter de la volonté de changement". بنشمسي: قدسية الملك تعيق الديمقراطية بالمغرب - Hespress. Hespress الجمعة 18 مارس 2011 - 22:13 قالت صحيفة لوموند الفرنسية إن خطاب الملك محمد السادس في التاسع من مارس الجاري كان تاريخيا، ليس لأنه أعلن إصلاح الدستور ولكن لأن الملك استجاب لضغط الشارع في رهان القوة.

وقال أحمد بنشمسي الباحث في جامعة ستانفورد الأميركية في مقال كتبه بالصحيفة، إنها المرة الأولى التي يشهد فيها المغرب مثل هذا الحدث منذ استقلاله في عام 1956. وأضاف مدير النشر السابق لمجلتي "تيل كيل" و"نيشان" أن رهان القوة بدأ يوم 20 فبراير الماضي استجابة لنداء أطلقته مجموعة من الناشطين عبر موقع فيسبوك حيث خرج 120 ألف مغربي في مسيرات جابت 53 مدينة وقرية في المغرب مطالبين بدستور ديمقراطي. وأوضح الكاتب أنه خوفا من عدوى الثورات العربية، فقد تركت السلطات المتظاهرين ولم تتعرض لهم، وكانت النتيجة أن المتظاهرين أدركوا أعدادهم وعرفوا قوتهم فانكسر حاجز الخوف، ومن يومها انتشرت التجمعات واحتد النقاش في الصحف ومواقع الإنترنت ولم يتوقف الضغط الديمقراطي. وقال الكاتب إنه سواء كانت هناك إصلاحات دستورية أم لا، فـ"الملكية التنفيذية" -كما جاء في خطاب الملك محمد السادس- لم تتوقف عن تجاوز صلاحيات الحكومة المنتخبة. Manifestation du 20 Mars: “Nous voulons une monarchie parlementaire” Malgré le discours du Roi du 9 Mars qualifié d'historique, vous maintenez la marche prévue pour ce dimanche 20 mars...

Il y a deux catégories de citoyens qui manifesteront ce dimanche 20 mars. La première soutient le discours royal, mais demande le reste des revendications qui n’ont pas été évoquées par Sa Majesté et des clarifications sur de nombreuses idées relevées dans le discours qui leur paraissent floues. La deuxième catégorie quant à elle, ne se satisfait pas du discours royal et estime qu’une Constitution qui chapeaute tous les pouvoirs est une constitution makhzenienne. Elle ne veut pas d'un relooking de la Constitution mais son changement par une voie purement démocratique.

Ces deux catégories savent que l'on doit maintenir la pression, et comptent faire suivre ces manifestations par des débats. En effet, celui qui sort pour revendiquer la démocratie et qui subit la répression de la police, n’acceptera jamais des élections corrompues par la suite. Le pouvoir absolu du Roi. Maroc | Zineb el-Rhazoui : "Pourquoi le peuple marocain croirait-il Mohammed VI ?"

Nadia Yassine: "Nous soutenons les manifestations du 20 mars" Morocco: The Youth Rise Up. Al Aoula - Société Nationale de Radiodiffusion et de Télévision (Maroc)