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Corruption

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Opium : L’opium : qu’est ce que c’est ? L’opium est une substance issue du latex de pavot de type Papaver somniferum, originaire du Mésopotamie, cousin éloigné du coquelicot.

Opium : L’opium : qu’est ce que c’est ?

L’opium est une substance issue du latex de pavot de type Papaver somniferum, originaire du Mésopotamie, cousin éloigné du coquelicot. Ses effets sédatifs, utilisés à des fins rituelles, sont connus depuis la plus lointaine Antiquité (sumérienne, grecque), et l’utilisation médicale contre la douleur (antalgique), a été développée au début du Moyen-âge dans la médecine arabe et perse. Il a ensuite été introduit en Asie il y a environ mille ans. Il peut être consommé par voie orale, brut (boules d’opium, depuis l’antiquité) ou dissous dans de l’alcool (sous forme de laudanum, inventé par Thomas Sydenham en 1660, appelé aussi « élixir parégorique »), ce qui a permis une meilleure conservation. Légaliser le cannabis ? Ce qu'en dit l'économie. Sur ce sujet majeur de sécurité publique, la classe politique reste assez coincée.

Légaliser le cannabis ? Ce qu'en dit l'économie

Provoquant un immédiat tollé, Vincent Peillon, ministre de l'Education nationale, vient utilement de poser la question. On présente ici de façon critique les arguments économiques en faveur de la libéralisation. Ripoux et polémiques. Malaise dans la police... - France. De Michel Neyret à la brigade anti-criminalité de Marseille, la police fait face ces derniers mois à une succession d'affaires de «ripoux» présumés auxquelles s'ajoute, cette semaine, l'ouverture d'une enquête visant trois policiers de la BAC d'Arras soupçonnés de violences en réunion (lire ci-contre).

Ripoux et polémiques. Malaise dans la police... - France

S'agit-il, comme le suggèrent plusieurs responsables, d'une embarrassante «loi des séries» qui ne concernerait qu'une «minorité de cas», ou, comme d'autres le dénoncent déjà, de «réelles et inquiétantes dérives» de l'institution policière elle-même ? Corruption: Cannabis dans le fond des BAC. 04.10.2012 | aucune réponse Policiers dans le quartier de Belsunce, à Marseille le 8 septembre.

Corruption: Cannabis dans le fond des BAC

Douze membres de la brigade anticriminalité (BAC) du nord de Marseille ont été placés en garde à vue mardi 2 octobre par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN, la "police des polices") dans le cadre d'une enquête portant sur le vol ou l'extorsion d'argent, de stupéfiants et de cigarettes de contrebande à des dealers et des vendeurs à la sauvette, a-t-on appris de sources policière et judiciaire. Le procureur de la République à Marseille, Jacques Dallest, a précisé à la presse que quatre fonctionnaires, des enquêteurs de l'équipe de jour de la BAC, qui ne sont pas des officiers de police judiciaire, avaient été placés en garde à vue. Coffee shops Amsterdam. La politique en matière de drogue aux Pays-Bas Depuis les années 60 et le grand boum de la consommation de stupéfiants en Europe, les Pays-Bas appliquent une politique de contrôle des substances, la distinction entre drogue dure, drogue douce, trafiquant,et consommateur étant strictement définie.

Coffee shops Amsterdam

Dépénalisation du cannabis : pour un débat sans caricature ni outrance. Du cannabis en attente d'être incinéré à Hénin-Beaumont, le 8 octobre 2004 (SIPA).

Dépénalisation du cannabis : pour un débat sans caricature ni outrance

La question ne sera pas posée ! Le terrorisme verbal de la droite fait son effet. Silence dans les rangs. Duflot, Peillon au coin ! Les tartuffes imposent leur loi. Copé en tête – suivi de Dati et de Baroin – y a été de sono couplet sur la gauche pétard et nos enfants en péril. Mais la plus prophétique fut Rama Yade qui, dans un amalgame hardi, avait rapproché cette proposition des Verts, de celles de Peillon sur la notation et les évaluations des élèves, dénonçant une idéologie post-soixante-huitarde qui consiste à donner tous les pouvoirs aux élèves, à dire que l’enfant est roi, à estimer qu’il ne faut pas lui demander d’efforts, que le mérite ne compte pas , "le laxisme éducatif", c’est "le retour de Woodstock dans l’Education nationale".

L'échec de Sarkozy. Légalisation ou dépénalisation : l'arlésienne politique du cannabis. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexandre Pouchard Olivier Besancenot, Lionel Jospin ou Noël Mamère en 2002, Nicolas Sarkozy en 2007, Daniel Vaillant et Jean-Michel Baylet en 2011, Cécile Duflot et désormais Vincent Peillon qui, sur France Inter, dimanche 14 octobre, s'est prononcé pour une dépénalisation du cannabis à titre personnel, s'attirant les foudres de Matignon.

Légalisation ou dépénalisation : l'arlésienne politique du cannabis

Le point commun de tous ces responsables politiques ? Le cannabis peut-il faire du bien à notre économie? Matignon l'assure au lendemain des déclarations du ministre de l'Education Vincent Peillon : il n'y aura pas dépénalisation du cannabis.

Le cannabis peut-il faire du bien à notre économie?

Dommage, diront peut-être certains économistes. Car sa dépénalisation aurait pu être utile d'un point de vue financier. Cannabis : légaliser, dépénaliser, quelle différence? Les réactions se multiplient après les propos de Vincent Peillon sur le cannabis.

Cannabis : légaliser, dépénaliser, quelle différence?

Les hommes politiques se prononcent pour ou contre une "dépénalisation" ou une "légalisation", sans que la nuance soit établie entre les termes. Pourtant, les deux notions couvrent des réalités très différentes. "Dépénaliser" signifie littéralement renoncer à punir pénalement l'usage d'un produit ou du moins baisser le niveau de l'infraction pour le consommateur. Cela ne signifie pas que tout est autorisé. Dépénalisation du cannabis : sur quoi se joue le débat ? La prise de position "personnelle" de Vincent Peillon sur le cannabis a relancé le débat récurrent sur le statut du cannabis en France.

Dépénalisation du cannabis : sur quoi se joue le débat ?

Quels sont les arguments de ceux qui sont pour ? De ceux qui sont contre ? Comment nos voisins traitent la question ? Revue de détails avec BFMTV.com. Quelle différence entre dépénalisation et légalisation ? Clairement il s'agit de situations très différentes. Les arguments des pro-dépénalisation ? Ceux qui sont pour une dépénalisation avancent en général deux arguments.

Dépénalisation du cannabis: L'Etat passerait à côté d'un milliard de recettes. Comme d’habitude, un politique s’est risqué à proposer un débat sur la dépénalisation du cannabis. Vincent Peillon, en l’occurrence. Comme d’habitude, cette sortie s’est accompagnée d’un tollé à droite, et d’un silence gêné à gauche. Et comme d’habitude, Jean-Marc Ayrault a dû confirmer que la dépénalisation n’aurait pas lieu. Pourtant, les arguments économiques en sa faveur existent bel et bien, selon une étude menée par Pierre Kopp, professeur à l’université Paris 1. D'après lui, l’Etat passe à côté d’une manne d’un milliard d’euros de recettes fiscales. Cannabis : prohiber, dépénaliser ou légaliser ? - France. Cannabis: Peillon pour la dépenalisation. Le ministre de l'Éducation s'est exprimé dimanche à demi-mots sur France Inter, dans l'émission Tous politique, en faveur de la dépénalisation du cannabis. Il a en tous les cas clairement appelé à ouvrir le débat sur cette question.

"C'est un sujet majeur. Je vois maintenant quasiment tous les soirs sur nos chaînes de télévision des reportages pour montrer les trafics illicites de nos banlieues et le danger dans lequel vivent nos concitoyens, y compris les enfants des écoles. " "On peut lutter par les moyens de la répression, je suis absolument pour, mais en même temps je vois que les résultats ne sont pas très efficaces", a-t-il poursuivi (...)

"Cette question (de la dépénalisation) est posée et je souhaite que l'on puisse avancer sereinement". Dépénaliser le cannabis ? Cela rapporterait 300 à 500 millions d'euros par an à l'Etat. En évoquant son opinion sur la dépénalisation du cannabis, Vincent Peillon réactive un vieux débat (N.DENETTE/SIPA) Vincent Peillon, et avant lui d'autres personnalités politiques, se pose la question de la nécessité d'un débat sur le cannabis. Une réflexion amenée par une simple et bonne raison : la politique de lutte contre le trafic et la consommation de cannabis menée ces dernières années est complètement inefficace. L'échec de la politique de répression Pour preuve, quelques chiffres très parlant.

Entre 2000 et 2010, on est passé de 60.000 interpellations pour usage et détention de cannabis à plus de 120.000. Si la répression policière avait été efficace, le prix du produit aurait normalement dû augmenter - en raison des saisies et des interpellations - et le nombre de consommateurs baisser. La politique répressive en place depuis une bonne décennie ne porte donc pas ses fruits. Cannabis: dépénalisation, légalisation…confusion! Comment, qu’est-ce que j’entends ? La dépénalisation sans légalisation contribuerait à la lutte contre le trafic ? Récemment, le ministre Peillon a créé la polémique en déclarant qu’il fallait, selon lui, rouvrir le débat sur la dépénalisation du cannabis (mais pas sur la légalisation). D’autres personnalités, à gauche, lui ont emboité le pas, en particulier du côté écologiste. Tous ont utilisé l’argument suivant : dépénaliser serait une manière de lutter contre les trafics. Mais si le trafic existe, c’est parce que la substance n’est pas légale.

Dans un sens, ils ont raison: dépénaliser sans légaliser débouche sur une situation bancale et probablement non durable. Légaliser le cannabis rapporterait 1 milliard d’euros. Dans un entretien au journal Le Monde daté du 03 aout, l'économiste Pierre Kopp, professeur à l'université Paris I - Panthéon-Sorbonne, estime qu'en comparant le coût de la politique de lutte contre le cannabis à celui de son autorisation, la légalisation du cannabis rapporterait un milliard d'euros à l’Etat. « Légaliser ne conduirait pas à une explosion de la consommation si la taxe fixée par l’Etat permettait de maintenir le prix actuel (environ 5,50 euros le gramme) », affirme Pierre Kopp. « Le prix est la variable essentielle: s’il était trop élevé, cela susciterait du trafic. S’il était trop bas, la consommation pourrait se développer. Légaliser le shit ? Les dealers s'inquiètent pour leur "marché" Un oeil sur la planète - Et si on légalisait le cannabis ? Corruption à Marseille : du cannabis et des bijoux dans les faux-plafonds de la BAC - Faits divers.

La BAC de Marseille est-elle le reflet d'une police corrompue? Une gangrène. C'est ainsi que Jacques Dallest, procureur de la République de Marseille, a qualifié le système de corruption mis à jour par l'enquête sur le service de la BAC des quartiers nord de Marseille. Quatre des douze policiers déférés, auraient été mis en examen et écroués, a indiqué ce vendredi Europe 1. Ils sont suspectés d'avoir organisé le racket de jeunes dealers interpellés dans les cités "sensibles". Et cette "opération main propre" au sein des forces de l'ordre n'en est peut-être qu'à son commencement : "Il est aussi envisageable que d'autres personnes soient impliquées pénalement", a indiqué lors d'une conférence de presse le magistrat. L'enquête, menée par la police des polices, semble désormais s'appuyer sur des éléments solides.

La plus grosse affaire de corruption dans la police en France? "Il serait absolument faux d'en conclure que tous les policiers locaux sont corrompus", affirme le procureur Jacques Dallest. RapportBlanchimentTraficCannabis. France : BAC de MArseille : un chef de la police savait, selon Le Point. L'hebdomadaire a révélé vendredi que l'ancien numéro deux de la police n'a jamais saisi la justice des faits de corruption dont il avait été alerté. Marseille: quatre policiers de la Bac nord interpellés pour corruption.