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POPULATIONS PRECAIRES - ALIMENTATION

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Darmon. Homme-402. Manger équilibré pour 3,5 euros par jour : un véritable défi. Master Pro Qualimapa 2006-2007 : précarités alimentaires en France. Guideaidealim.pdf. Preca_fin_rap. Groupe de travail ’Injustice alimentaire’ Direction régionale et interdépartementale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt d'Île-de-France Prochaine réunion du groupe de travail : lundi 25 mars 2013 Le groupe de travail "Réduire l’injustice alimentaire et mener des actions spécifiques aux plus démunis" du comité régional de l’alimentation d’Île-de-France se réunira le lundi 25 mars de 14h30 à 16h30 à la DRIAAF (adresse précisée ci-dessous).

Groupe de travail ’Injustice alimentaire’

Seront présentées les avancées des actions du pôle offre alimentaire ainsi que les modalités de financements des projets pour 2013. Groupe de travail du 10 mai 2012 Le groupe de travail « Réduire l’injustice alimentaire et mener des actions spécifiques vers les plus démunis » s’est réuni le jeudi 10 mai 2012 à la DRIAAF Ile-de-France. CNA_avis72_AideAlimentaire. Représentations et stratégies alimentaires des personnes en situation de précarité. 396 - rubrique aide à l'action - Enquête sur l'alimentation des personnes précarisées" Christine César a réalisé pour l'Institut de veille sanitaire (InVS) et l'Unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (Uren) une étude sur l'analyse de l'alimentation des familles en situation de grande précarité.

396 - rubrique aide à l'action - Enquête sur l'alimentation des personnes précarisées"

En matière de nutrition, la partie de la population la plus paupérisée échappe aux études épidémiologiques, c'est pourquoi l'étude Abena est centrée sur les personnes ayant recours à l'aide alimentaire (1). Le volet qualitatif a permis de conduire des entretiens approfondis dans les lieux de vie d'une quarantaine de familles résidant en région parisienne (les sans domicile fixe n'étaient pas inclus) (2). Les personnes rencontrées sont essentiellement des allocataires des minima sociaux, des chômeurs et des travailleurs pauvres. Grande dépendance à l'aide alimentaire Un exemple concret : au lendemain de la distribution d'un colis, je rends visite à une famille - un couple avec trois enfants - vivant dans une pièce de 15 m2 d'un hôtel insalubre. Etude Abena 2004-2005 - Comportements alimentaires et situations de pauvreté : Aspects socio-anthropologiques de l'alimentation des personnes recou...

Rapport_Abena_2011_2012. Alimentation et état nutritionnel des bénéficiaires de l'aide alimentaire, Etude Abena. L’Observatoire régional de santé Île-de-France (ORS), l’Unité de surveillance et d’épidémiologie nutritionnelle (Usen, unité mixte de l’Institut de veille sanitaire et de l’Université Paris 13), l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) et la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) ont publié le 22 mars les résultats de la seconde édition de l’étude Abena sur l’alimentation et l’état nutritionnel des bénéficiaires de l’aide alimentaire, menée en 2011-2012.

Alimentation et état nutritionnel des bénéficiaires de l'aide alimentaire, Etude Abena

La première édition, réalisée par l’InVS, avait permis de connaître les consommations alimentaires et les caractéristiques de l’état nutritionnel des personnes ayant recours à l’aide alimentaire en France en 2004-2005. Enquête auprès des associations d’aide alimentaire (E3A) : mode de fonctionnement des structures et valeur nutritionnelle des colis et repas distribués. L’enquête E3A a été réalisée en 2003-2004 auprès d’associations d’aide alimentaire en France pour analyser leurs modes de fonctionnement et estimer la qualité nutritionnelle de l’aide distribuée.

Enquête auprès des associations d’aide alimentaire (E3A) : mode de fonctionnement des structures et valeur nutritionnelle des colis et repas distribués

Les modes de fonctionnement des structures de distribution ainsi que leurs capacités et les publics servis étaient très diversifiés. Les repas et les colis apportaient en moyenne 850 et 800 kcal par personne et par jour, respectivement. Alors que les repas avaient une qualité nutritionnelle correcte, les colis avaient une densité énergétique élevée (160 kcal/100 g) et des densités nutritionnelles faibles. Aucune différence de qualité nutritionnelle n’a été observée entre les colis préparés à l’avance et les paniers emportés dans les épiceries sociales ; ni selon que les bénévoles avaient déclaré tenir compte ou non de l’équilibre alimentaire pour les constituer.

Lire la synthèse du document. Alimentation et état nutritionnel des bénéficiaires de l’aide alimentaire.